Voyage vers le minimalisme (et l’écologie)

L’écologie est un sujet primordial en ce moment. Canicules, manque d’eau, feux de forêts considérables, pollution de l’air, des mers, des terres, fonte massive des glaces dans les pôles… ces problèmes ne sont plus cantonnés à quelques parties du monde, lointaines et éloignées. C’est arrivé près de chez nous, comme le dit le titre du film.

Quelle(s) réponse(s) apporter ? Individuelle, collective ? Par l’action des pouvoirs publics et de la loi ? Par l’entreprise et sa RSE ? Par les associations ?

La société de consommation dans laquelle nous vivons se rend compte qu’elle est fichue : comment continuer à produire et à vendre n’importe quoi à n’importe quelles conditions et à vils prix ?

A la lecture du billet de Cyrille sur Consumérisme, minimalisme et billet vert, la réponse est bien celle du minimalisme, un minimalisme applicable dans tous nos comportements. Dans notre façon de percevoir notre environnement et d’interagir avec lui.

Voyager dans le minimalisme, c’est refuser l’influence de la société de consommation et agir dans le respect de l’environnement. C’est ne pas attendre une solution politique ou une hypothétique nouvelle solution technique à nos problèmes immédiats : la destruction de notre environnement et la déshumanisation des rapports sociaux.

Je me suis replongé dans mes archives et j’ai republié les traductions effectuées à l’époque du site theminimalists. Ma traduction n’est pas exceptionnelle et ne comporte pas l’intégralité du projet mais cela peut vous inspirer et vous donner de nouvelles perspectives.

C’est ici pour le voyage vers le minimalisme.

Déjà un avis pertinent dans Voyage vers le minimalisme (et l’écologie) :

  • Nous sommes décidément de plus en plus à y penser. Je donnerai aussi des exemples concrets liés au numérique car on oublie trop souvent la part grandissante de cette économie numérique dans la pollution et la dépense énergétique.

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