Le grand silence

J’ai fait le constat durant mes congés d’été qu’il était de plus en plus difficile pour moi de partager.

J’ai parlé d’intimité et du syndrome de l’imposteur. Je suis tiraillé entre la volonté de partager et faire publiquement, l’intimité de mes écrits (expérience et pensées), la critique reçue, la peur qu’on me démasque en tant qu’imposteur et qu’on me ridiculise.

Je ne sais plus vraiment pourquoi je m’impose ces contradictions. Assurément j’en tire bien davantage du positif que du négatif mais quoi de plus paisible, tranquille et reposant que le silence.

Vous lisez mon dernier article, j’espère que vous avez appris des choses, j’espère que ça a été utile. Désolé pour les articles promis et jamais publiés. On continuera de se croiser sur le Jdh et dans le forum des bons pères de famille.

Déjà 4 avis pertinents dans Le grand silence

  • Odysseus
    S’arrêter un temps, fut-il plus ou moins long, est parfois nécessaire, ne fut-ce que pour souffler, prendre du recul, mettre en perspective, dégager le futile de l’essentiel, ne plus craindre le regard de l’autre, ne pas/plus se sentir obligé (aussi envers soi-même), prendre le temps, …
    Ce syndrome de l’imposteur, il m’arrive de le côtoyer aussi.

    Je te souhaite de prendre le temps pour tout cela et d’un jour ou l’autre revenir.

  • Jack84
    Salut Cascador

    Désolé de savoir que c’est ton dernier article ici (reste à voir dans le temps) et comme je promène régulièrement mon curseur sur JDH et chez Cyrille je serai heureux de voir ton pseudo « Cascador » figurer dans les sujets et autres corrections ;-).

    Le « silence » c’est bien beau un certain temps, surtout quand on le décide parce-que l’on en a besoin (évolution de la vie professionnelle, vie privée, santé, motivations….) après ce passage il te sera toujours temps de voir.

    Tchao

  • Salut,
    On entre dans la période de déprime post rentrée avec les jours courts…pas bon de ruminer. Mais l’imposteur, nous le sentons tous en nous…celui qui ne le sens pas est sans doute le pire.
    Chaque chose partagée est utile, même la plus infime. Mais parfois il y a des périodes où rien ne semble vouloir sortir de bon, où les brouillons s’empilent. Et puis ça revient…
    Ne jamais dire jamais. A bientôt, ici… 😉

Les commentaires sont fermés.